Le pendu de la Roque-Gageac

Publié par François Auberoche sur 8 Octobre 2018, 13:23pm

Couverture du livre broché publié chez Amazon.fr

Un commentaire d'une lectrice pour mon dernier roman "Le pendu de la Roque-Gageac"
Se pendre en se jetant du haut d’une falaise est une manière sophistiquée d’en finir.
Mais lorsque le capitaine Rameau et ses gendarmes découvrent le cadavre de Maître Gérard Milhac, les contusions sur son visage et ses mains liées dans le dos ne laissent aucun doute : c’est un meurtre !
S’était-il fait des ennemis à titre professionnel ? Ou bien ses amours adultères avec la belle Michèle Damon lui ont-ils valu l’ire homicide du mari, ou de sa propre femme ? Et n’oublions pas une des plus belles raisons de tuer qu’un bon polar comme celui-ci ne saurait oublier : l’argent, encore et toujours l’argent. Qui sait ?
Bien d’autres pistes s’offrent à nos enquêteurs et à vous d’en découvrir davantage.
Une cohorte de personnages familiers venus des précédents romans, dont quelques belles à chaud tempérament et des pompiers serviables, entoure Rameau et ses acolytes. Mais de « petits nouveaux » viennent mettre leur grain de pittoresque. Telle Madame Ménard qui a fugué de sa maison de retraite pour retrouver les joies de la liberté et du sang de la vigne — à en tomber en delirium — ; on n’est pas une ancienne Résistante pour rien ! Dire qu’on l’avait pour ainsi dire enfermée !
Et Faucher, un peintre, Bouliac, son comparse, viennent jeter le trouble et du mouvement parmi tous ces beaux paysages d’un sud-ouest où sont semés quelques-uns des plus beaux villages de France, dont La Roque-Gageac.
Venons-en à l’action qui bondit, rebondit sans jamais nous lasser. Le crime ne va pas se contenter d’emporter l’avocat. Et des prises d’otages, et l’intervention du GIGN. Des hélicos, de périlleuses descentes en appel. Un style vif, dynamique, sachant faire halte par moments pour décrire un lieu, une scène de famille paisible et attendrie, un repas, des coquetteries quasi libertines mais fort sagement exprimées. Le dosage entre action et réflexion est parfaitement maîtrisé. Et la bonne humeur a toujours le dernier mot.
Le tout sur un fond historique qui nous tient en haleine.
Avec des allusions littéraires qui ajoutent au piquant de l’histoire.
Une belle lecture pour tous !

M E Rochlin critique artistique

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Lependu de la Roque-Gageac

Le pendu de La Roque-Gageac

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